Mis à jour le 07/09/2022
/La sécurisation des paiements reste une des principales préoccupations des exportateurs. Les solutions pour y parvenir sont nombreuses.
Parmi elles, la lettre de crédit stand- by est une technique de sécurisation moins contraignante que le crédit documentaire qui mérite d’être mise en avant :
- La lettre de crédit stand-by apporte-t-elle plus de flexibilité aux exportateurs ?
- Comment fonctionne-t-elle ?
- Dans quelles situations, elle doit être privilégiée par rapport au crédit documentaire ?
- Mais aussi quels sont les pièges à éviter dans sa mise en œuvre ?
Sylvain LETORT, Responsable Commerce international Grand Ouest à la Société Générale, a présenté aux entreprises bretonnes , lors d’un webinaire organisé par BCI, le fonctionnement de la « stand-by » tout en mettant l’accent sur les avantages et inconvénients de cette technique de sécurisation à l’international.
Que faut-il retenir ?
Retour de Cindy Le Guern – Conseillère en Développement International
Ce webinaire a été l’occasion de :
– sensibiliser les entreprises sur le fonctionnement de la lettre de crédit stand-by (=SBLC)
– les aider à sécuriser un chiffre d’affaires récurrent à l’international
Nous nous sommes rendus compte durant la période de confinement qu’il y a eu plus de complexité dans la gestion des opérations à l’international comme la difficulté à récupérer les B/L originaux dans les délais impartis des crédits documentaires.
La SBLC aurait pu être comme une alternative intéressante car elle permet l’échange de documents électroniques.
Il faut savoir qu’avec cette garantie de paiement, vous n’êtes pas soumis à l’envoi de documents originaux comme pour le crédit documentaire.
Une nuance a été apportée durant le webinaire sur le fait qu’elle ne peut pas répondre à tout (exemple en Afrique où nous sommes confrontés au contrôle des changes).
N’hésitez pas à écouter le tutoriel sur les différentes techniques de paiement à l’international.