Mis à jour le 30/09/2022

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La JV (ou Joint-Venture) peut être, pour les entreprises, un outil puissant et rapide de développement à l’international. Elle est envisageable quel que soit votre secteur d’activité, quelle que soit votre taille.

Son succès implique toutefois de bien comprendre ses enjeux et d’avoir une stratégie claire avant de se lancer.

Un webinaire a été proposé aux entreprises bretonnes sur cette thématique en présence de Sylvie AUTRET, Associée Fondatrice au sein du Cabinet d’avocat AUTRET CONSEIL.

Ce webinaire avait pour objectif de familiariser les entreprises avec cet outil et de faire comprendre quelles sont les clés de la réussite d’une JV à travers des exemples concrets.

   Que faut-il retenir de ce webinaire?

 

Retour de Capucine Lix – Conseillère Internationale

Sylvie AUTRET nous a apporté son éclairage sur la Joint-Venture à l’international, les principes de base : l’accord de JV (contrat cadre), la création de la société commune et les contrats de fourniture de biens et/ou services. Ces strates contractuelles qui font de la JV un outil souple qui s’adapte bien au projet commun qui lie sur le long terme deux sociétés complémentaires (voire plus 3,4,5…).

Plus engageante qu’un contrat classique, elle permet, dès la rédaction de son business plan, de cadrer la rentabilité de la future société commune en prévoyant la répartition des coûts et des bénéfices.

Le principe de base étant de ne pas faire trop vite confiance à son partenaire, de préparer cet accord en réalisant votre propre étude de faisabilité, de rentabilité sans se fier aux chiffres proposés par le partenaire étranger et en qualifiant, par ailleurs, ce partenaire en réalisant une étude de réputation par exemple.

Une fois tous ces enjeux / risques évalués de votre côté, vous serez en mesure de défendre vos intérêts lors de la rédaction de l’accord de JV avec le partenaire de confiance identifié (sans oublier d’y intégrer des clauses de non-concurrence, clauses de retrait…)

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